• Greffe de moëlle osseuse et diversité microbienne intestinale

    La diversité de la flore intestinale augmente le taux de survie après une greffe de cellules souches hématopoïétiques allogéniques.

  • Risque cardiaque accru après un traitement contre le cancer du sein

    Des études à long terme ont indiqué dans les cas de cancers du sein un risque plus élevé de maladie cardiaque suite à une radiothérapie et/ou chimiothérapie. Des résultats corroborés par une récente étude de cohorte, qui apporte une preuve statistique.

  • Étude MS-SMART (SEP) : l’amiloride, la fluoxétine et le riluzole échouent

    Dans une étude de phase I, aucun des médicaments testés n’a pu ralentir la progression de l’atrophie cérébrale dans la sclérose en plaques secondairement progressive.

  • Réduire le risque de diabète par une bonne hygiène bucco-dentaire ?

    Les personnes ayant une hygiène bucco-dentaire rigoureuse semblent avoir un risque plus faible de développer un diabète de type 2. C'est du moins ce qu’indiquent les données d’une étude de cohorte basée sur la population de Corée du Sud.

  • Au cours de la vie, la pression artérielle augmente plus rapidement chez les femmes que chez les hommes

    Les femmes connaissent une augmentation de la pression artérielle plus importante au cours de leur vie que les hommes, ce qui peut expliquer leur risque accru de certaines maladies cardiovasculaires telles que la dysfonction microvasculaire coronaire et l’insuffisance cardiaque diastolique.

  • Inhibiteurs de l'agrégation plaquettaire après une hémorragie intracérébrale : stop ou encore ?

    Les résultats de l'étude RESTART suggèrent que la reprise d'un traitement antiplaquettaire préexistant après une hémorragie cérébrale peut réduire le risque d'hémorragies intracérébrales symptomatiques récurrentes. Suffisant pour convaincre les médecins les plus réticents... et reléguer l'IRM comme facteur décisionnel ?

  • Traitement anti-tumoral et médecines complémentaires

    Les approches thérapeutiques complémentaires, dont certaines utilisant des préparations à base de plantes, sont utilisées par un grand nombre de patients, en parallèle de leur traitement anti-tumoral. Ce sujet est peu abordé par les patients et les médecins, alors que des effets secondaires ou des interactions sont toujours possibles.

  • Les différences ethno-socio-économiques dans le cancer colorectal

    L’évolution et l’issue d’un cancer colorectal sont également déterminées par des facteurs socio-économiques et ethniques, d’après une récente étude qui examine la façon la plus efficace de prendre en compte ces inégalités.

  • SEP : le potentiel des chaînes légères de neurofilaments sériques comme biomarqueurs

    L’augmentation des chaînes légères de neurofilaments sériques est associée à une détérioration de la fonction neurologique, selon une vaste étude en conditions réelles présentée au congrès ECTRIMS cette année.

  • Traitement initial du diabète de type 2 : metformine en monothérapie ?

    Depuis plusieurs décennies, la monothérapie à la metformine est le traitement de choix pour débuter une thérapie contre le diabète de type 2. Une étude randomisée à long terme a montré qu'une association précoce de metformine et de vildagliptine, un inhibiteur de la DPP-4, pourrait être associée à une régulation plus efficace à long terme de l''hémoglobine glyquée.

  • AVC : la rééducation à haute intensité améliore les résultats

    La rééducation des patients atteints d’hémiparésie suite à un AVC nécessite habituellement un entraînement à la marche prudent. Une nouvelle étude montre cependant qu’un entraînement intensif et plus exigeant sur le plan mental peut rendre les patients beaucoup plus mobiles.

  • Hyperplasie bénigne de la prostate : le traitement par 5-ARI peut retarder un diagnostic de cancer

    Les inhibiteurs de la 5-alpha réductase sont couramment utilisés pour le traitement à long terme de l’hyperplasie bénigne de la prostate. Cependant, selon une étude récente, ces médicaments réduisent de moitié les taux de PSA sériques, ce qui peut entraîner la sous-estimation d’un risque de cancer de la prostate.

  • Patients naïfs de biologiques et souffrant de rhumatisme psoriasique

    Les patients atteints de rhumatisme psoriasique naïfs de biologiques bénéficient d’un traitement par l’ustékinumab indépendamment d’un traitement préalable par ARMMc et de la durée de la maladie, comme le montrent les données des études PSUMMIT 1 et 2.

  • Traitement de la colite ulcéreuse par l'ustékinumab

    L’ustékinumab convient au traitement d’induction et d’entretien de la colite ulcéreuse.

  • Hémorragies cérébelleuses spontanées : chirurgie ou traitement conservateur ?

    Une méta-analyse récente aux États-Unis et en Allemagne a cherché à savoir si l’évacuation chirurgicale de l’hématome améliore le résultat fonctionnel.

  • Traitement du syndrome coronarien aigu : le prasugrel bat le ticagrelor

    Les résultats de l’étude ISAR-REACT 5 récemment présentée au congrès de l’European Society of Cardiology à Paris montrent que le traitement du syndrome coronarien aigu par prasugrel est suivi de moins de décès et de crises cardiaques que celui par ticagrelor.

  • Moins de méthionine pour prévenir le diabète de type 2 ?

    En plus d'un régime généralement moins calorique, un apport limité en méthionine, un acide aminé, pourrait également contribuer à la prévention du diabète de type 2. C'est ce que montrent des études sur le modèle murin.

  • Insuffisance cardiaque chez les patients diabétiques : les femmes plus touchées

    Le risque d'insuffisance cardiaque chez les personnes diabétiques est considérablement élevé. Cela semble être particulièrement vrai pour les femmes atteintes de diabète de type 1.

  • Une mortinatalité plus forte lorsque les mères sont diabétiques

    Les femmes atteintes de diabète avant la grossesse courent encore un risque considérablement plus élevé d’accoucher d’un enfant mort-né.

  • Risque accru de cancer chez les diabétiques de type 2

    Les patients atteints de diabète de type 2 présentent un risque significativement plus élevé de développer un cancer. Le risque de cancer chez les femmes et les hommes est influencé très différemment et toutes les entités cancéreuses ne sont pas affectées de la même façon, comme l’a montré une vaste étude démographique menée en Chine.

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