• Cancer du sein : L'évolution de l'IMC, un indicateur à surveiller avec attention

    Cancer du sein : une étude s'intéresse à l'évolution de l'IMC une fois le traitement initié. Les résultats sont surprenants.

  • Oncologie gynécologique : État des lieux et perspectives

    Lors du dernier congrès de la Société Européenne d'Oncologie Médicale (ESMO), le Professeur Giovanni Scambia a présenté les avancées des dix dernières années dans le domaine des cancers gynécologiques, avant de d’annoncer les perspectives attendues pour les dix à venir.

  • Le sel augmente le risque de cancer de l'estomac de 40 %

    En Asie, le lien entre une consommation élevée de sel et le cancer de l'estomac était déjà établi. Désormais, ce risque est également confirmé par les statistiques sur le cancer en Europe.

  • Le cancer comme maladie métabolique

    Le métabolisme des tumeurs reçoit de plus en plus d’attention. pourtant le cancer est généralement considéré comme une maladie génétique. Un point de vue qui fait actuellement l’objet d’une sérieuse réévaluation.

  • Les autorisations accélérées de médicaments demeurent souvent inchangées malgré l’absence de données post-commercialisation, voire des données négatives.

    Les autorités réglementaires peuvent accorder un dispositif d’autorisation accéléré pour les nouveaux médicaments, en cas de besoin urgent, à condition que des données post-commercialisation sur l’efficacité et la sécurité soient fournies. Le mauvais fonctionnement de ce dispositif est alarmant en ce qui concerne les inhibiteurs de point de contrôle immunitaire.

  • La fiabilité des données des études de phase III ne tient-elle qu’à un fil ?

    De nombreuses études de phase III randomisées et contrôlées, visant à démontrer la supériorité des nouveaux médicaments contre le cancer sur les traitements de contrôle, reposent sur des bases statistiques douteuses, comme l’indique une récente étude récente dans le Lancet.

  • Les patients âgés sont clairement sous-représentés dans les études oncologiques

    Pas « vieux », juste plus âgés : pourquoi l’âge doit davantage entrer en considération dans les travaux de recherche et les études sur les traitements.

  • Vers une augmentation des taux de cancer colorectal chez les jeunes adultes ?

    La mauvaise alimentation, la surcharge pondérale, l’inactivité physique et les substances modifiant le microbiome intestinal menacent de stopper voire d’inverser la tendance générale, qui est à la baisse.