Diabète et sports extrêmes ne sont pas incompatibles!

Guillaume, 35 ans, diabétique de type 1 depuis 22 ans et passionné de sports de glisse et outdoor témoigne, qu’il est possible de vivre sa passion malgré la maladie. En fonction des saisons et de ses voyages, il pratique régulièrement des sports extrêmes et partage ses expériences sur son blog centré sur le diabète et sa passion. Son objec

Guillaume, 35 ans, diabétique de type 1 depuis 22 ans et passionné de sports de glisse et outdoor témoigne, qu’il est possible de vivre sa passion malgré la maladie. En fonction des saisons et de ses voyages, il pratique régulièrement des sports extrêmes et partage ses expériences sur son blog centré sur le diabète et sa passion.

Son objectif est de témoigner de la possibilité pour les diabétiques de vivre sereinement leur passion d’un sport outdoor d’aventure et de favoriser un accès rapide à une information claire et utile pour les diabétiques qui pratiquent ou souhaitent pratiquer ces sports. Pour ce faire, il présente des témoignages (disponibles en anglais) de diabétiques ainsi que son expérience personnelle.

Aucun sport n’est interdit aux diabétiques, mais ils ne sont pas sans danger. Des précautions sont à prendre, car la pratique du sport exige non seulement un changement des apports alimentaires mais aussi une adaptation de la prise d’insuline. Ces modifications des habitudes ne sont pas toujours évidentes, mais des innovations adaptées, pharmaceutiques ou non, existent.  C’est ce dont témoigne Guillaume : “Les innovations des laboratoires peuvent véritablement faciliter la vie des diabétiques. Dans le cadre de la pratique de certains sports outdoor notamment, la possibilité de voir en un geste sa glycémie ainsi que sa tendance est un grand plus niveau confort et confiance en soi.”

Afin d’accompagner au mieux son lecteur, ce dernier lui raconte comment il combine sa passion et son diabète; ses aventures sportives sont aussi l’occasion pour lui de tester différents produits, dont il fait ensuite la critique sur son blog. Car qui peut mieux en parler qu’une personne concernée?